samedi 7 juillet 2012

home is were blood is?




Toutes les fois où je rentre chez moi, je pense à
Georges Franju: Les yeux sans visage
La victime qui traverse la forêt, passe sous le pont, devant la porte...
tellement familiers....


Finalement, cette photo qui 
rompt le charme...





Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.